Le mystère des combattants de DAECH élucidé : Leur potion magique : « Le Captagon »

 

S’il y a une chose qui a caractérisé l’organisation terroriste DAECH, plus que toute autre chose, c’est l’excès de barbarie et de cruauté dont ont fait part ses combattants, dépassant tout entendement. Ces terroristes ont fait preuve d’une sauvagerie extrême, et font fi de tout bon entendement, et ne reculent devant rien pour « exceller » en matière d’horreur et d’épouvante. Par ailleurs, ces miliciens ont montré  qu’ils se moquent bien de tout ce qui pourrait leur advenir et de tout ce qui pourrait découler de leur comportement bestial. Ils font fi des réactions mondiales, bien au contraire, ils jubilent à l’idée de surenchérir en la matière.

 

Autre fait, relaté celui-ci, par les membres des armées qui les combattent, c’est que ces guerriers sont complètement insensibles à la peur, à la fatigue et surtout à la douleur. Ils ont beau être violentés, ils continuaient, néanmoins à rigoler comme s’il ne s’agissait pas de leurs corps. D’autres témoignages, émanant, notamment, de combattants kurdes parlent de milliers de sauvages qui te foncent dessus en rigolant, et qui sont tellement bourrés aux amphétamines qu’ils « ne meurent pas ». La plupart d’entre eux ne meurent qu’après avoir reçu cinq ou six balles toutes supposées mortelles, racontent ces témoignages.

 

Finalement, l’explication de toute cette abomination et ce comportement, vient de tomber à la lumière d’une saisie d’une quantité phénoménale de « Captagon ». Une drogue à base d’amphétamine qui inhibe tout sentiment de douleur, de peur et de fatigue. Une drogue qui fait, apparemment fureur depuis quelques mois dans la région du golfe arabe, car on lui prête des vertus aphrodisiaques et il semblerait qu’elle rende les hommes infatigables sur ce plan, en plus du fait qu’elle soit hallucinogène.

 

Au fait, d’où vient ce « Captagon » ? Il s’agit d’une drogue de synthèse imaginée et élaborée, et certains suspicieux y verraient une énième preuve de l’implication de certaines superpuissances et des pays de l’OTAN dans la naissance et l’extension du phénomène DAECH, dans un laboratoire de l’OTAN en Bulgarie. Puis, comme par miracle ce produit a commencé à être conditionné et distribué, sous formes de petites pilules blanches, en Syrie, aux guerriers islamistes de tous bords. Avant cela, la molécule aura fait ses preuves ailleurs, dans d’autres contrées qui avaient connu des scénarios similaires. Et dire que certains se moquaient de Feu Kadhafi quand il assurait que les islamistes qui mettaient le feu à son pays, prenaient des pilules hallucinogènes.

 

Il s’est donc, avéré que les combattants de DAECH, comme, d’ailleurs, leurs cousins de Jabhet Ennosra et des autres formations terroristes, raffolent de ces petites pilules miracle. Et l’organisation raffole à l’occasion des gains monumentaux qui lui reviennent de la vente de ce produit à tout le moyen orient. Ces terroristes prennent dans ce comportement, exemple sur les soldats nazis d’Hitler qui consommaient une drogue proche du Captagon, qui les rendaient infatigables et leur procurait une sensation d’invincibilité. Reste à savoir comment ces terroristes connaissaient l’existence de cette drogue et savaient ce que prenaient les soldats de Hitler, alors qu’ils ne les avaient ni côtoyés ni combattu. On pourrait se poser cette question autrement : « Qui a combattu contre les soldats de Hitler et qui a su l’existence de cette drogue, et qui l’aurait expérimentée, avant de la produire dans ses laboratoires, pour ses soldats ou pour les « mercenaires » à sa solde ?